J’expérimente quelque chose. Car n’ayant toujours pas de nouvelles du côté de Calmann-Lévy, je me sens m’enliser dans cette attente comme un flamby au soleil. A force de refuser de me lancer dans un nouveau projet pour pouvoir rester à l’entière disposition de Monsieur le personnage Marc Dumont-Prévost, me voici les deux pieds dans la Super Glue 3.
Alors moi qui aime écrire dans le plus parfait silence, histoire de mieux écouter ce que me dicte mon cerveau dubitatif, j’ai décidé d’aiguiller mob stylo Bic et d’écrire sur une musique imposée. D’écrire selon une playlist que je me soumets à moi-même. Les morceaux de la dite playlist sont choisis, avec parcimonie et précision, et répondent à des critères nébuleux qui ne sont propres qu’à moi (et donc inexplicables car parfois tout à fait absurdes, soyons honnêtes). Le procédé n’est pas nouveau, et encore moins révolutionnaire, certes. On peut même comparer ce que je viens de présenter comme une expérience de dingue, à quelque chose comme : « ah bon ? Ils fabriquent des draps avec élastique au coin maintenant ? Comme c’est pratique ! ». Bref, un lieu commun que je m’en vais de ce pas visiter.
Mon but inavoué, évidemment, est qu’une fois la machine lancée, elle pourra jouer sa propre petite musique dans le plus parfait des silences. Allez, donnez-moi le la.Libellés : Confessions créatives
Nhesite pas à piocher dans ma reserve de cds... mais ne me juge pas aprés...enfin pas sur tous. H.Coben use de ce stratagéme je crois aussi, et avec le succés commercial que lon connait...alors hop hop hop !
Rédigé par : Olivier | mardi 23 février 2010 à 01h22